» Un sexagénaire bien portant

Aujourd'hui le célèbre quotidien sportif, tant décrié mais tant lu, souffle ses soixante bougies. Happy birthday to you.


Ce billet est dédié à un copain qui m'avait fait halluciner lorsque, partant 15 jours au Mexique, il avait assigné comme seule mission à sa mère de consciencieusement acheter et stocker les exemplaires quotidiens pour pouvoir se faire une orgie de lecture à son retour.
Pour ma part, et depuis de nombreuses années, ce quotidien permet d'adourcir les incessants et pénibles aller-retours Banlieue-Paris en RER.

Dans l'Equipe de ce jour il y a un cahier spécial anniversaire dans lequel on trouve en particulier un grand nombre d'interviews sur le thème 60 ans d'histoires d'amour (avec le journal). Voici 13 morceaux choisis accompagnés de remarques personnelles.

Laurent Blanc (né le 19 novembre 1965, cela a son importance dans la suite)
"Le premier quotidien que j'ai lu, c'est l'Equipe. J'ai commencé vraiment à partir de la Coupe du Monde 1970".
NDLR : l'Equipe c'est pas compliqué mais à 4 ans et demi, quand même.....

Arsène Wenger
"L'Equipe c'est mon premier plaisir du matin"
NDLR : allons Arsène, une petite p... avant de commencer la journée, c'est pas désagréable quand même.

Florian Rousseau
"A six ans, je prenais mon petit vélo pour aller chercher le pain et l'Equipe pour mon père"
NDLR : alors, c'est cela les grosses cuisses....on m'aurait menti !!!

Jean Rochefort
"Le jour où je ne l'ai pas, je suis en manque. C'est ma ligne de coke !"
NDLR : eh Jeannot, moi mon dealer c'est le relais H....mouarfffffff

Thierry Roland
"Je le lisais dans le bus pour aller à l'école, et aussi pendant les cours quand je me faisais un peu trop chier...."
NDLR : Pierre-Gilles de Genne, il attendait la récré quand même

Francis Huster
"Alors petit garçon, j'ai regardé la demi-finale de la Coue du Monde 1958 à la télé. La France a pris un but avant d'égaliser par par Fontaine. Ensuite, Jonquet a eu la jambe cassée par Vava. Comme on ne remplaçait pas les joueurs blessés, la partie a été déséquilibrée. J'étais tellement fou de rage[...] que je suis parti au siège de l'Equipe pour attendre la sortie du journal. Je ne voulais pas croire que le résultat du match avait été homologué[...]"
NDLR : et bien voilà un truc que je n'avais pas retrouvé pour mon article sur les France-Brésil.

Rolland Courbis
"Quand je me suis retrouvé à 19 ans au Pirée, j'attendais 16 heures comme le moment le plus important de la journée. Depuis l'age de douze ans, je n'ai pas passé un jour sans lire l'Equipe"
NDLR : et après on va critiquer la distribution du courrier dans les prisons françaises.....

Alain Fabiani
"Je suis un supporter de l'OM et j'avais fait le déplacement à Munich en 1993. J'avais pris l'avion dans la nuit pour rentrer en France, sauf qu'au petit matin, impossible de trouver mon quotidien : les buralistes avaient été dévalisés !"
NDLR : Alain, ce n'est pas la peine d'insiter au sujet de la sur-criminalité de ta région

Guy Roux
"Mon premier souvenir de l'Equipe, c'était chez le cordonnier de mon village, même s'il ne l'achetait pas tous les jours parce qu'il n'avait pas assez d'argent"
NDLR : un bourguignon plus pauvre que Guy Roux, ça existe ???

Philippe Seguin
"J'ai été un des lecteurs assidus de l'Equipe Junior, un supplément des années 50"
NDLR : pourquoi n'en a t'on pas parlé à Thierry Roland ??

Alain Finkielkraut
"J'ai en tête les images de Gaul"
NDLR : j'ai toujours pensé que les philosophes étaient des vilains pervers.

Jacques Monclar
"J'allais l'acheter pour mon père dès mon plus jeune age. Il m'arrivait même de piquer la monnaie"
NDLR : Jacques, une assist et un steal, c'est bien...tu nous fais un rebond maintenant ?

Bernard Pivot
"Je me rappelle la rubrique J'aime / J'aime pas qui me minait le moral car 9 sportifs sur 10 répondaient : J'aime pas lire"
NDLR : qui est donc le 10ème ?? JPP, Fabrice Bénichou, Ribery

» Les glorieux anciens : Jacques Secretin

Ce billet est une double première.

Il inaugure une série sur les grands sportifs qui ont marqué l'histoire du sport français (les glorieux anciens aux photos jaunies) et constitue mon premier article sur le ping-pong (sport pratiqué par tous en France mais malheureusement associé à la couardise par Coluche).
Jacques Secrétin est assurément un des plus grands palmarès français tous sports confondus.....attention vous êtes prêts, jugez plutôt.......


Jacques Secrétin est né le 18 mars 1949 à Carvin (62 ou Pas-de-Calais pour les ignares).

Championnats du Monde
1 titre : double-mixte avec Claude Bergeret en 1977
4 autres podiums en double-mixte et double-messieurs

Jeux Olympiques
Aucune participation car le tennis de table n'est devenu olympique qu'en 1988 et que Jacquot avait arrêté sa carrière de haut niveau en 1986. On notera néanmoins qu'il a encore été capable de remporter le titre de champion de France de double en 1989.

Championnats d'Europe
7 titres dont 1 en individuel

Top12 Européen
Record de 17 participations

Championnats de France
63 (!) titres dont 17 en individuel
Pour illustrer la longévité de Secrétin, gardez en mémoire qu'il a remporté tous les titres individuels entre 1966 et 1982 exception faite de celui de 1976 laissé à Patrick Birocheau (peut-être la canicule ?)

» Classico J-6

Dimanche prochain aura lieu au Parc des Princes le match retour du Classico français : PSG-OM

Les forces en présence
Le deux équipes ne sont pas au mieux dans le championnat et doivent revoir leurs objectifs de fin de saison. UEFA, Coupe à Toto ou rien du tout seront les destins européens des deux clubs pour l'an prochain.

• PSG : 8ème avec 41 points (différence +5)
• OM : 5ème avec 43 points (différence -1)

Il y aura un surcroit de pression pour le PSG avec la défaite au match aller (but du fraichement transféré Cana).

Des supporters en pleine possession de leurs moyens....physiques
Samedi soir, les supporters parisiens Tigris et Boulogne Boys ont commencé à se chauffer en s'affrontant dans le stade de la Beaujoire avant de saccager une station service d'Ancenis sur le chemin du retour à la capitale.

Bref, ce match retour promet d'être chaud et je vous propose une petite bande-annonce réalisée par NonoPsg afin de vous mettre dans l'ambiance.



A mon avis (de supporter auxerrois), un bon vieux match nul serait idéal......

» Ciao Torino, Hello Vancouver

Les XXèmes JO d'hiver sont terminés, c'est l'heure du bilan.

L'équipe de France revient avec 9 breloques pour un objectif annoncé de 11 à 15 médailles.
La faillite des médaillables en puissance a été seulement en partie compensée par quelques jolies surprises.


L'analyse des performances françaises par sport

• belle performance de l'équipe de France masculine de ski alpin
• équipe de France féminine de ski alpin inexistante
• le biathlon est, comme prévu, le plus grand pourvoyeur de médailles
• le patinage est inexistant
• le snowboard et le ski accrobatique (bosses et saut) sont très décevants

Le tableau des médailles

La France figure au dixième rang du palmarès ce qui est particulièrement indigne du rang de premier domaine skiable mondial.
Si les rangs américains et russes (liés à la sur-puissance économique), voir suédois et canadiens (liés à la culture nordique) ne sont pas étonnants, la belle surprise revient à l'Allemagne. Même si le biathlon gonfle le bilan de 11 médailles, ce pays non-nordique et pas très montagneux finit en tête du palmarès.
La place de la Corée n'est pas méritée car artificiellement gonflée par les médailles du short-track. L'or au 5.000 mètres de patinage de vitesse n'aura jamais la même valeur que le titre de Hockey....un jour, il faudra penser à faire des palmarès pondérés par l'importance de l'épreuve.
La Norvège n'est pas à sa place car seules deux de ses 19 médailles sont en or.

Revivez les 9 médailles françaises

Or : Antoine Dénériaz (descente)
Or : Florence Baverel (biathlon)
Or : Vincent Defrasne (biathlon)

Argent : Joel Chenal (slalom géant)
Argent : Roddy Darragon (ski de fond)

Bronze : Sandra Laoura (bosses)
Bronze : Paul-Henri de le Rue (snowboard cross)
Bronze : Relais masculin (biathlon)
Bronze : Relais féminin (biathlon)

Heureusement que je ne maintiens pas un blog allemand......

» Pas de pétrole mais du talent

Voici quelques compilations vidéos glanées grace au site Soccers.fr

J'ai uploadé les clips sur Youtube afin de pouvoir les regarder en streaming en 340*280 (si vous voulez de la meilleure qualité il faudra chez les originaux).
Il vaut mieux cliquer sur le petit bouton "play" dans la barre de contrôle que sur le grand qui est au milieu de l'image car sinon cela ouvre une nouvelle fenêtre sur le site de Youtube.

La preuve en image que les footeux français sont de grands talents.
Vous êtes prêts ? La lecture attentive de ce billet vous prendra 22 minutes et 6 secondes sans compter les textes (qui sont quand même très basiques).

A tout seigneur tout honneur, une compilation des meilleurs buts italiens de Platoche (1'32)



Thierry Henry : l'élégance, la puissance et le melon (3'15)



Canto : la classe et le super-melon (6'19)



JPP : 77 des ses buts à l'OM par Omédiathèque (5'23)



Zizou : l'artiste (4'02)



Et pour finir, un top 10 du championnat français 1985-1995 tiré des 20 ans de Canal (1'35).
On y retrouve Boli, Loko, Simba, Waddle.....

» Le bébé fête son premier mois

Après un mois d'existence de ce blog, voici quelques chiffres :

• 49 billets (1,6 par jour)
  
• 1139 pages vues (37 par jour)
• 644 visiteurs uniques (21 par jour)

J'aurais bien aimé connaître vos sentiments sur les points suivants :

• y'a-t'il un sport dont je cause trop ?
• manque-t'il des sports ?
• préférez vous les séries ou les articles one-shot sur un sujet d'actualité ?
  
• y'a-t'il assez/trop de vidéos ?
• quels sont les articles que vous avez préféré ?

Merci d'avance de vos commentaires et suggestions.....

Ne vous génez pas pour promouvoir ce site au travers de vos liens et de vos blogrolls, faites suivre l'adresse à vos proches amateurs de sport.....

» Pour son anniversaire JP Vidal mange une gauffre

Aujourd'hui, 24 février 2006, est un grand jour pour Jean-Pierre Vidal.
Il fête son 29ème anniversaire et demain il défendra son titre olympique sur le stade de slalom de Sestrières.
Il est en pleine forme et a tiré l'excellent dossard n°2.

Mais Jean-Pierre est un skieur sérieux et il doit quand même s'entraîner plutôt que de boire du champagne et manger des tiramisu.
Qu'à cela ne tienne, il attendra la breloque de demain pour tout fêter d'un coup.

Mais Jean-Pierre s'est gauffré sur la piste d'entraînement (pas une verte, je vous rassure, mais celle du géant) et s'est cassé le bras droit. Il a annoncé sa retraite sportive dans la foulée et n'aura donc pas le grand honneur d'être le turinois n°10 de ce blog.

Allez Jipé, cela mérite bien une petite murge au génépi ce soir......
Courage et bonne reconversion champion.

» Turinoises n°9 : Biathlon relais feminin

Les similitudes entre les équipes de France masculines et féminines de biathlon sont troublantes pendant ces JO :

• un leader défaillant en individuel : Raphael Poirée et Sandrine Bailly
• des outsiders titrés : Vincent Defrasne et Florence Baverel
• des relais bronzés derrière les ogres allemands et russes

Donc hier, sur 4 * 6 kms, l'équipe de France féminine a décroché la troisième place du relais.

Après un départ hésitant de Delphine Péré-trop-to, qui accusait un retard de 1'40 au passage du témoin, le trio Baverel, Becaert "les cuisses" et Bailly a gagné sans cesse du terrain pour remonter les nations parties en flèches et finir à distance respectable des Russes et Allemandes en troisième position.

Bravo les filles........

La feuille de résultats détaillée sur le site torino2006.org

Delphine Peretto est née le 09/02/1982 à Albertville,elle skie à Beaufort-sur-Doron.
Florence Baverel est née le 24/05/1974 à Pontarlier, elle skie à Montbenoit.
Sylvie Becaert est née le 06/09/1975 à Lille, elle skie au Grand Bornand
Sandrine Bailly est née le 25/11/1979 à Ruffieu, elle skie à Valmorey-Retord.

» Turinois n°8 : Roddy Darragon

Et c'est encore un inconnu complet qui gagne le filet garni d'une médaille d'argent.

La discipline à l'honneur aujourd'hui est le sprint d'1.5 km en ski de fond.
Même format que le bordercross, qualifications au temps le matin puis quarts, demis et finale l'après-midi.


Roddy est la méga grosse côte de cette course, jugez plutot son palmarès :

• 28ème du championnat du monde juniors 2003
• 35ème du championnat du monde 2005
• 72ème de la coupe du monde 2003/2004
• 24ème de la coupe du monde 2004/2005
• des places en coupe du monde 2005/2006 qui oscillent entre la 6ème et la 40ème.

Mais le chasseur alpin de 22 ans (auteur de la journée de sa vie) en a bluffé plus d'un en terminant 10ème des qualifications avant de passer les quarts (2ème), les demis (2ème) et de finir à la deuxième place de la grande finale.

Il est sur le podium entre deux super-cadors suédois (Lind et Fredriksson).
Un grand bravo à lui.

Roddy Darragon est né le 31/08/1983 à Annecy. Il vit et skie au Grand Bornand.

» Les news du Net

Pas encore de médailles à Turin à cette heure matinale, alors voici quelques nouvelles plus ou moins fraiches qui se devaient d'être connues :

• Le Figaro rachète Sport24.com : c'est Arthur qui va être content, il pourra méler NBA et politique.
  
• FabProno : Orochimaru lance un site de pronos amicaux sur les matchs de tennis. Design épuré, pronos quotidiens et sans cesse de nouveaux challenges.
  
• Sur le site de l'ATP, chaque semaine un joueur blogue. Ajourd'hui, c'est Mardy Fish, les semaines précédentes : Blake, Ljubicic, Nieminen et Santoro
  
• Nouvelle BoxScore sur NBA.com : plus jolie, plus complète...bravo
  
• Pierre Salviac, récent retraité à l'insu de son plein gré de la télévision publique, tient un blog regulièrement alimenté. Pour les fans de rugby......
  
• Vente d'objets sportifs au profit de l'institut Curie : à noter absolument dans votre agenda. Le dimanche 2 avril 2006 à la Ferté s/s Jouarre (77), Nicolas et Serge organisent une vente au profit de Curie sous le parrainage de Jean-Claude Killy (un grand merci à lui). 100% des enchères (maillots de foot et de cyclisme, accessoires de tennis, affiches, journaux anciens, tableaux, photos dédicacées, dessins, objets...) seront reversées à l'institut. Alors n'hésitez pas et venez faire un petit geste.
  
• Et pour finir en cadeau une superbe vidéo du slam dunk contest du AllStarGame 2006

» Turinois n°7 : Biathlon relais masculin

Ce sont quatre relayeurs qui se partagent la médaille de bronze du relais 4 * 7.5 kms de biathlon.

Le format
Nous avons le droit à 3 boucles de 2.5 kms entrecoupées de 2 stands de tirs pour chaque relayeur.
A chaque stand (5 cibles), le courreur a droit à 3 pioches (balles supplémentaires) avant de faire des tours de pénalité à partir de la 4ème faute.

Une course pour laquelle les allemands et les norvégiens étaient les grands favoris, les bleus faisant office de sérieux prétendants à la 3ème place.

Le premier relayeur français Julien Robert (mari de Florence Baverel) fait un sans faute au tir mais se traine en ski et transmet le relais avec une minute de retard sur le leader (américain !!!).
Vincent Defrasne, nettement plus véloce (3ème temps de l'ensemble des participants) malgré une pioche, transmet le témoin en quatrième position à 43 secondes du nouveau leader allemand.

Cannard n'est pas grippé
(merci à FabulousFab le rigolo qui m'a soufflé ce titre de paragraphe)
Féréol Cannard, le point faible présumé de l'équipe, auteur de deux pioches et d'un excellent temps à ski a profité des défaillances d'Andresen (Norvège - 2 tours et 5 pioches) et de Longo (Italie - 2 tours et 3 pioches) pour passer la main en 3ème position à 40 secondes des allemands ralentis par un mauvais Fischer à la carabine.

Allemagne-Russie-France-Suède, c'est le quatuor de tête lorsque Raphael Poirée s'élance pour tenter de glaner la médailler du plus haut métal possible.
Après le premier tir, Raphael est deuxième à 17 secondes des allemands......tous les espoirs sont permis.
Mais les trois pioches du second pas de tir lui seront fatales : il repart quatrième avec 13 secondes de retard sur le concurrent suédois Bergman.

Un final de feu lui permet d'arracher aux suédois la médaille de bronze après analyse de la photo finish.
Devant, Allemagne et Russie campent sur les deux plus hautes marches du podium. Derrière, la Norvège -malgré un dernier temps super canon de OE Bjoerndalen- doit se contenter de la cinquième place.

Tous les temps individuels dans ce rapport complet du site officiel des JO

Les quatres Dalton
Julien Robert, né le 11/12/1974 à Grenoble.
Vincent Defrasne, né le 09/03/1977 à Pontarlier.
Féréol Cannard, né le 28/05/1978 à Morez.
Raphael Poirée, né le 09/08/1974 à Rives.

» Turinois n°6 : Joel Chenal

Et c'est encore une très belle surprise venue d'Italie avec la superbe médaille d'argent de Joel Chenal en slalom géant.

Il s'en est même fallu de 7 centièmes que Joel n'emporte la médaille d'or.

Il se consolera en partageant le podium avec deux monstres autrichiens : Beni Raich, vainqueur, et Herminator Maier, troisième.




Auteur du second temps de la première manche derrière le canadien François Bourque, Joel savait que tout restait à faire car 12 courreurs se tenaient dans la même seconde.

La français n'a pas craqué et ne sera privé de la médaille d'or que par une superbe seconde manche de Benjamin Raich, seulement cinquième du premier tracé.

Le classement des dix premiers (que des grands noms de la discipline) :

1.Benjamin Raich (AUT)
2.Joel Chenal (FRA)
3.Hermann Maier (AUT)
4.Francois Bourque (CAN)
5.Fredrik Nyberg (SWE)
6.Bode Miller (USA)
6.Aksel Svindal (NOR)
8.Rainer Schoenfelder (AUT)
9.Kalle Palander (FIN)
10.Thomas Grandi (CAN)

Joel Chenal est né le 10/10/1973 à Moutiers, il vit et skie à La Rosière.

» Les deux tiers de la raquette de diamants pour Maumau

Seconde victoire d'affilée pour Amélie au tournoi d'Anvers.
Encore un titre dans les prochaines éditions et la raquette en diamants deviendra sa propriété.

Cet après midi, Amélie a battu la numéro 1 mondiale Kim Clijsters en 1h48 et trois sets réguliers : 3/6 6/3 6/3.



15 victoires d'affilée
Amélie, en forme éblouissante depuis sa victoire au Masters 2005, en est désormais à quinze victoires de rang. Victorieuse à l'Open d'Australie, elle enchaîne l'Open Gaz de France et maintenant Anvers.

La première place mondiale n'est plus très loin.......

» Clément au bout

Superbe semaine pour Arnaud Clément qui remporte cet après midi le chèque de 71.400€ destiné au vainqueur de l'Open13 de Marseille.

Rien que du lourd
Avant de lever le trophée, Arnaud a dû enchainer les victoires contre de redoutables adversaires.
Gasquet* (3/6 6/4 6/0), Verdasco (7/6 6/3), Santoro (7/5 4/6 7/6), Nadal (2/6 6/3 7/5) et enfin Ancic (6/4 6/2) ont été les victimes du renouveau de Clément.

Une carrière relancée
A 28 ans, Clément ne remporte que le 3ème tournoi de sa carrière (après Lyon en 2000 et Metz en 2003). Après un énorme passage à vide en 2005 (descente au delà de la 150ème place), on espère que le français va vivre un crépuscule de carrière en forme d'ascencion vers des sommets plus conforme à son potentiel.

* Gasquet, estimant ne pas avoir répondu aux attentes des organisateurs, a rendu son chèque d'engagement à Jean-François Caujolle

» Turinois n°5 : Vincent Defrasne

Comme les turinois n°2 et 3, le n°5 se pare d'or.

Et c'est du biathlon que vient cette troisième médaille du plus beau des métaux.

Vincent Defrasne, meilleur français du sprint, partait donc en 5ème position lors de la poursuite (12.5 kms et 4 tirs) de cet après-midi.


Sven Fischer ayant craqué au premier tir, Andresen au deuxième et Hanevold au troisième, Vincent pointait en tête à l'entrée du quatrième pas de tir.
Mais Ole-Einar Bjoerndalen revenu en flèche malgré sa 12ème position au départ était à 45 secondes derrière.
Et là, la pression du titre olymique au bout des cinq balles était trop forte : Vincent rata deux balles...mais heureusement la mobylette norvégienne en ratait une.

A la sortie du pas de tir, le français n'avait plus que 6 secondes sur OEB. Ce dernier l'a très vite rattrapé et le français s'est bien calé dans l'aspiration.
Le suspense devenait totalement insupportable et tous les sportifs de salon sortirent clopes et bilouzes pour ne pas s'évanouir.

Dernier virage, le français calé dans le tuyau d'échappement est légèrement déséquilibré et décroche de trois mètres.
Mais le stade d'arrivée est en légère descente, Vincent se relance de plus belle, revient sur Bjoerndalen, le déboite et coupe la ligne en vainqueur.

ENORME, GRANDIOSE

Cette équipe de France est superbe : les leaders (Poirée et Bailly) décoivent mais les équipiers modèles triomphent.
D'excellent augure avant les épreuves par équipes.

Vincent Defrasne est né le 09/03/1977 à Pontarlier. Il skie à l'EMHM CSR Pontarlier.

» Turinois n°4 : Paul-Henri de le Rue

Et c'est une deuxième médaille de bronze qui nous vient du snowboard-cross.
Il s'agit d'une discipline nouvellement olympique dans laquelle les concurrents se tirent la bourre pour arriver en bas en premier : chutes et coups de putes malice sont les arguments de ce sport spectaculaire.

Seule ombre au tableau : des finales à 4 (comme en short-track) qui laissent toujours un cocu en bas du podium.


Alors que la France du snow attendait une médaille de la part de Xavier (le grand frère), celui-ci fut à la rue dès les huitièmes de finale laissant PH défendre seul les chances tricolores.
Ce dernier fit preuve de malice pour se qualifier en quarts, puis en demis et enfin en finale.

Dès le départ, une chute commune avec un espagnol laissait malheureusement les deux autres finalistes s'expliquer pour l'or et l'argent. Mais PH s'est relevé rapidement pour aller glaner une médaille bien méritée.

Paul-Henri de le Rue est né le 17/04/1984 à Lannemezan. Il vit et surfe à Saint-Lary.

» Turinoise n°3 : Florence Baverel-Robert

Et c'est une deuxième médaille d'or qui vient agrémenter le palmarès de l'équipe de France olympique.
Comme espéré, le biathlon nous permet de décrocher la timballe.
Mais au lieu des grands favoris, Raphael Poirée ou Sandrine Bailly (ou encore Vincent Defrasne), c'est de Florence Baverel que vient l'agréable surprise.





Le sprint de 7.5kms (2 tirs) a été ce midi le théatre de sa première victoire individuelle sur le circuit.

Les grincheux diront que Florence a bénéficié d'une amélioration des conditions de glisse (dûe à son dossard élevé), qu'elle a pris l'aspiration de Sandrine Bailly (placée devant elle), mais on s'en cogne : bravo Florence.

Le classement (à noter, une seule allemande parmi les 10 premières) :

1. Florence Baverel-Robert (Fra) 22'31''4
2. Anna Carin Olofsson (Suè) +2''4
3. Lilia Efremova (Ukr) +6''6
4. Albina Akhatova (Rus) +8''8
5. Olena Zubrilova (Blr) +9''1
6. Sandrine Bailly (Fra) +11''6
7. Kati Wilhem (All) +18''4
8. Olga Nazarova (Blr) +21''8
9. Olga Zaitseva (Rus) +34''4
10. Svetlana Ishmouratova (Rus) +38''9

Avec Florence et Sandrine (6ème à 11 secondes), les françaises partiront dans d'excellentes conditions pour la poursuite.....

Florence est née le 24/05/1974 à Pontarlier, elle skie à Montbenoit.

» Les matchs legendaires du football francais (5/10)

Pour ce cinquième épisode de la série, ce sont trois matchs qui seront présentés.
Trois moments d'anthologie entre l'équipe de France et la meilleure équipe du monde, la patrie du football : le Brésil.

France - Brésil (1/2 finale de la Coupe du Monde 1958)
Le 24 juin 1958 à Stockholm, La France affronte le Brésil en demi-finale de la Coupe du Monde.
C'est la rencontre de la meilleure attaque (France 15 buts) contre une défense invaincue jusque là.
Mais c'est surtout la découverte de Edson Arantes do Nascimento, 17 ans, qui allait devenir le plus grand joueur de l'histoire de ce sport.
Pour sa première demi-finale, La France s'inclinera 5-2 devant un Brésil qui remportera cinq jours plus tard sur le même score la Coupe face à la Suède, pays hôte.
La France prendra la troisième place après une victoire éclatante contre la RFA 6-3.

Just Fontaine restera à jamais le meilleur buteur d'une phase finale avec 13 pions.

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Evolution du score

France 0 - 1 Brésil : Vava (2è)
France 1 - 1 Brésil : Fontaine (9è)
France 1 - 2 Brésil : Didi (39è)
France 1 - 3 Brésil : Pélé (52è)
France 1 - 4 Brésil : Pelé (64è)
France 1 - 5 Brésil : Pelé (75è)
France 2 - 5 Brésil : Piantoni (82è)

Composition des équipes

France : Abbes - Kaelbel, Jonquet, Lerond - Penverne, Marcel - Wisnieski, Kopa, Fontaine, Vincent, Piantoni. Entr. : Batteux et Snella
Brésil : Gilmar - De Sordi, Bellini, Orlando, Nilton Santos - Zito, Didi - Garrincha, Vava, Pelé, Zagallo

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Résumé du match



Goodies : 10 minutes de bonheur avec le roi Pelé

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France - Brésil (1/4 finale de la Coupe du Monde 1986)

Le 22 juin 1986 à Guadalajara sous 45°, c'est l'affrontement tant attendu entre la France de Platini et Giresse (meutrie par Séville mais revigorée par le titre européen de 1984) et le Brésil de Zico et Socrates qui n'a rien fait en Coupe du Monde depuis 1970.

Les 10 première minutes du match sont marquées par la présence d'une incrustation présentant le retour des otages Philippe Rochot et Georges Hansen fraichement libérés du Liban (merci à Moriarty pour le refraichissement de mémoire).

Ce match restera un fabuleux plaidoyer pour le football offensif.

Dès la 17è minute les Brésiliens ouvrent la marque par Careca à la suite d'une action d'une fluidité d'anthologie.

Le poteau sauvera ensuite Bats et les français sur une frappe de mule du bien nommé Muller.

Et comme souvent, les Français, après avoir laissé passer l'orage, égaliseront à la 40è minute.
Centre de Rocheteau, superbe placage de Stopyra sur Oscar le gardien brésilien et goaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaal de Michel Platini.

La seconde mi-temps, toujours aussi offensive, verra l'entrée de Zico le héros maudit.
A peine foule-t'il la pelouse, qu'une de ses passes lumineuses permet aux brésiliens d'obtenir un péno synonyme de victoire. Mais Joel Bats, en état de grace, arretera la frappe de Zico.

Vinrent alors les prolongations marquées par la superbe occasion de Bellone qui, accroché par Oscar dans son face à face, ne se laissera pas tomber et ratera le but de la victoire.

C'est, comme quatre plus tôt, la pénible épreuve des tirs au but.
Mais cette fois ci, la chance sourira aux Français.
Les plus grands - Socrates et Platoche - ratent, Bellone invoque le Dieu de la choune (poteau, retour sur la tête du goal et but), Julio Cesar tire sur le poteau (Dieu de la choune, seconde incantation) et Luis Fernandez délivre la France grace au plus célèbre des pénos tricolores.

En demi-finale, les français perdront encore une fois (2-0) contre les Allemands.......

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Evolution du score

France 0 - 1 Brésil : Careca (17è)
France 1 - 1 Brésil : Platini (40è)

Pénos

France 0 - 0 Brésil : Socrates (raté)
France 1 - 0 Brésil : Stopyra
France 1 - 1 Brésil : Alémao
France 2 - 1 Brésil : Amoros
France 2 - 2 Brésil : Zico
France 3 - 2 Brésil : Bellone
France 3 - 3 Brésil : Branco
France 3 - 3 Brésil : Platini (raté)
France 3 - 3 Brésil : Julio Cesa (raté)
France 4 - 3 Brésil : Fernandez

Composition des équipes

France : Bats, Battiston, Amoros, Bossis, Tusseau, Giresse (Ferreri 84'), Tigana, Platini, Fernandez, Rocheteau (Bellone 95'), Stopyra. Entr. : Michel
Brésil : Oscar, Josimar, Julio Cesar, Edinho, Branco, Elzo, Alemao, Socrates, Junior (Silas 91'), Muller (Zico 72'), Careca. Entr. : Santana

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Le merveilleux but de Careca en VO



Le but de Michel Platini

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France - Brésil (finale de la Coupe du Monde 1998)

Le 12 juin 1998 est un jour inoubliable pour (presque) tous les français.
Même les plus réfractaires au ballon ont poussés avec tout un peuple derrière la sélection nationale. La marée humaine encadrant le car en route vers Saint-Denis, les Champs-Elysées, les scènes de liesse populaire partout dans l'Héxagone, la France Black-Blanc-Beur sont autant de souvenirs présents à jamais.

Après les pénos (encore !!) contre l'Italie et le golden goal de Laurent Blanc, la France retrouve le Brésil pour sa finale au Stade de France (inauguré qualques mois plus tôt par une grosse soirée caillante face à l'Espagne) devant 80.000 privilégiés.

Sur le côté technique du match, il n'y a rien de particulier à dire.
En revanche, plein de souvenirs : la suspension injuste de Laurent Blanc, le doublé de la tête de Zizou, l'expulsion de Desailly, les brésiliens particulièrement ramolos (surtout Ronaldo), la délivrance en forme d'orgasme de Petit.

Mais tout ce qu'on retiendra c'est : et 1 et 2 et 3 zéro

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Evolution du score

France 1 - 0 Brésil : Zidane (27è)
France 2 - 0 Brésil : Zidane (45è)
France 3 - 0 Brésil : Petit (90è)

Composition des équipes

France : Barthez, Thuram, Leboeuf, Dessailly (expulsé 68'), Lizarazu, Karembeu (Boghossian 57'), Deschamps, Zidane, Petit, Djorkaeff (Viera 76'), Guivarc'h (Dugarry 66'). Entr. : Jacquet
Brésil : Taffarel, Cafu, Junior Baiano, Aldair, Roberto Carlos, Leonardo (Denilson 46'), Sampiao Cesar (Edmundo 74'), Dunga, Rivaldo, Bebeto, Ronaldo. Entr. : Zagallo

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Pour frissonner, le 3ème but d'Emmanuel Petit

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En goodies, le plus beau but (à mon sens) de la grande histoire des France-Brésil : le coup-franc de Roberto Carlos

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La série
1/10 : Bordeaux-Milan AC 1996
2/10 : Auxerre-Dortmund 1993
3/10 : Barcelone-Metz 1984
4/10 : France-RFA 1982
5/10 : Les France-Brésil

» Turinois n°2 : Antoine Deneriaz

Et voilà, il n'aura pas fallu attendre longtemps pour célébrer la première médaille d'or française.

C'est Tonio qui l'emporte dans la discipline majeure des JO d'hiver : la descente.

Faisant la nique aux Autrichiens et Américains, Deneriaz l'emporte en 1'48''80 avec 72 centièmes d'avance sur Walchhofer le grand favori. Victorieux de la descente d'entrainement hier, le grand massif n'aura pas tremblé.

Monstrueux de puissance et de stabilité, le français, en tête à tous les intermédiaires, a collé une valise à tous ses adversaires.

Antoine Deneriaz est né le 06/03/1976 à Bonneville. Il skie depuis toujours à Morillon.

Cocorico !!!!!

» Turinoise n°1 : Sandra Laoura

La première médaille française à Turin est de bronze.

Cette inconnue du grand public est l'héritière d'Edgar le ouf.
De retour de blessure depuis un petit mois à peine, elle remporte la médaille de bronze en bosses.

Sandra est née le 21/08/1980 à Constantine (ALG), elle vit et s'entraine à La Plagne

Un grand BRAVO à elle.

» Haas que vous m'avez fait Kiefer

Fanny à Halle : 3-0

Ce week-end, nous avons assisté à un énorme exploit de l'équipe de France de Coupe Davis.
Grosjean, Gasquet, Clément et Llodra ont battus sur leurs terres deux des joueurs les plus en forme de ce début d'année.

Vendredi, revanches éclatantes pour Grosjean et Gasquet (pour qui cette victoire marquera un tournant dans la carrière) qui ont battus leurs tombeurs de Melbourne.


Grosjean bat Kiefer : 7/5 7/6 6/0
Gasquet bat Haas : 1/6 6/4 6/4 6/7 6/3

Samedi, la nouvelle paire Clément/Llodra a achevé le magnifique travail commencé la veille en battant Haas/Waske en quatre sets malgré un début hésitant (3 balles de sets manquées dans le premier et un Clément légèrement mouillant)

Clément/Llodra battent Haas/Waske : 6/7 6/3 6/4 6/1

En quarts de finale, les bleus recevront les Russes qui les ont battus lors des deux derniers affrontements (2002 et 2005).
Mais ce sera une autre histoire car ce week-end une nouvelle équipe est née........

» Le rugby français ne tourne pas très ovale

Après les deux premières journées du tournoi des VI Nations, le bilan français est plus que mitigé.

Un défaite en Ecosse 20-16 pour l'ouverture a ruiné les espoirs de Grand Chelem de ceux que beaucoup donnaient comme favoris du tournoi.
A programme, passivité et fautes de mains en pagaille.




Pour les débuts à Saint-Denis, une victoire contre l'Irlande 43-31.
Après 50 minutes, les bleus menaient 43-3 grâce à 6 essais (Rougerie, Magne, Marty*2, Heymans*2) dont 3 étaient imputables à des contres assassins.
La seconde mi-temps a vu le réveil des mobylettes irlandaises qui ont planté 4 essais en mettant le feu aux quatre coins du terrain.
L'absence de réaction française est très inquiétante : sans les essais de rapine du débuts, c'est une seconde défaite qui nous attendait.

» Ils l'ont fait.....

Après une semaine d'absence pour cause de vacances aux sports d'hiver, il y a beaucoup à dire sur l'actualité sportive des frenchies.
A tout seigneur tout honneur : l'équipe de France de handball.

Le week-end final à Zurich s'est déroulé comme dans un rêve avec des boucheries 29-23 contre la Croatie et 31-23 en finale contre l'Espagne.

La génération des Karabatic, Guigou & Co me semble plus forte que celles des précédents barjeots et nous nous retrouverons bientôt pour fêter d'autres titres.

» Les petits barjots au rendez-vous des demis

Comme espéré dans ce précédent post, l'Equipe de France de handball se qualifie pour les demis-finale de l'Euro après trois victoires faciles dans le tour principal.

C'est sur une victoire 30-20 contre l'Ukraine que s'achève le plat principal.

Après un départ poussif (1-4), les bleus se sont rapidement envolés (16-10 à la mi-temps et +10 à la fin du match).


Le meilleur marqueur français est Joel Abati (7 buts sur 11 tentatives dont 2/2 aux pénos)

Ici les statistiques complètes de l'équipe de France après les deux premiers tours

Place désormais au dessert avec une demi-finale à jouer, à priori, contre la Russie (cette dernière devrait battre le Danemark ce soir tandis que l'Espagne pourrait passer l'obstacle Slovène).

COCORICO et au boulot pour la médaille d'or !!!!!!!!!

» PSG - Auxerre : Coupe de moule au Parc des Princes

Hier soir, j'ai été voir le 16ème de finale de la Coupe de France qui opposait le PSG à l'AJA (rappelons qu'Auxerre est était la méga bête noire de Paris en Coupe)

Stade vide (16.000 spectateurs) et grosse caillante mais match agréable et places top niveau (D Rouge juste au dessus de Guy Lacombe l'énervé).

Nous avons assisté à un hold-up parfait de la part du PSG. La première mi-temps a été copieusement dominée par Auxerre et ce n'est qu'à la demie-heure de jeu que les parisiens ont commencé à équilibrer la partie. Malheureusement un Alonzo en plein bourre avait réussi à garder ses cages inviolées.

La seconde mi-temps voyait, en plus d'une grosse chute de température, un retour aux affaires de la bande à Lacombe. Mais Auxerre gérait, malgré l'absence de leur meilleur joueur Kalhenberg, et attendait pour planter le contre assassin. A la 70ème, Pieroni devançait Yepes et battait Alonzo d'une jolie frappe croisée qui devait malheureusement se terminer en poteau rentrant "mais pas assez".

La chance était passée et 5 minutes plus tard Paulette bénéficiait d'un coup de choune monstrueux pour tromper Cool dans un angle fermé grace une frappe de minime contrée par Grichting et se transformant en lob dans le petit filet opposé.

Puis vint l'action du match : Paulette réussissait une reprise de volée "à la Coridon", une espèce de mélange de coup du scorpion et de la danseuse (dixit mon ami Valdo).
Ce coup de génie se terminait sur la barre d'un Cool complètement battu qui évitait ainsi d'encaisser le but de l'année.

Le plus simple est de regarder le résumé vidéo.......et vous comprendrez que la mauvaise foi ne m'habite pas tant que ça......

» Boris 1er gouverneur d'Arizona

Le jour tant attendu (au moins par moi) est enfin arrivé.

Boris Diaw est devenu le premier français auteur d'un triple double en NBA.
Lors de la victoire écrasante hier soir des Suns à Philadelphie, Boris a rendu une impressionnate feuille de statistiques :

» 14 points à 6/12 aux tirs
» 2/2 aux lancers
» 11 rebounds
» 13 passes
» 0 turn-over
» 1 contre

Déclaration de Steve Nash, le roi de la passe, à la fin du match :

Il a été bon toute l'année, mais ce soir, il a été monstrueux !