» Classement européen 2006 des sports collectifs

Voici une petite analyse de forces en présence par nation dans les 5 sports collectifs majeurs (pratiqués en France).
Ces statistiques ne concernent que les résultats masculins.
Même si dans certains sports les final four sont déjà connus, on va comparer les représentations nationales au stade des quarts de finale.


Rugby
Munster (Irlande)
Perpignan (France)
Toulouse (France)
Leinster (Irlande)
Biarritz (France)
Sale (Angleterre)
Leicester (Angleterre)
Bath (Angleterre)

Football
Lyon (France)
Milan AC (Italie)
Benfica (Portugal)
Arsenal (Angleterre)
Barcelone (Espagne)
Villareal (Espagne)
Juventus (Italie)
Inter Milan (Italie) ou Ajax (Pays-Bas)

Basketball (attention top 16)
Olympiakos (Grèce)
Barcelone (Espagne)
Malaga (Espagne)
Kaunas (Lituanie)
Real Madrid (Espagne)
Bologne (Italie)
Tel-Aviv (Israel)
Ulker Istanbul (Turquie)
Vitoria (Espagne)
CSKA Moscou (Russie)
Vilnius (Lituanie)
Bamberg (Allemagne)
Zagreb (Croatie)
Efes Pilsen (Turquie)
Trevise (Italie)
Panathinaikos (Grèce)

Handball
Pampelune (Espagne)
Barcelone (Espagne)
Montpellier (France)
Veszprem (Hongrie)
Real Madrid (Espagne)
Celje (Slovenie)
Kiel (Allemagne)
Flensburg (Allemagne)

Volleyball (seulement six équipes car un qualifié d'office pour le Final Four)
Moscou (Russie)
Tours (France)
Perouse (Italie)
Belgorod (Russie)
Belchatow (Pologne)
Salonique (Grèce)

Nous affectons maintenant 1 point par 1/4 de finaliste, 1/2 point par 1/8ème de finaliste et 1.33 points pour le cas particulier du volley.

Classement par nation

1.Espagne 7
2.France 6,33
3.Italie 4,83
4.Angleterre 4
5.Russie 3,16
6.Allemagne 2,5

Classement par ville

1.Barcelone 2,5
2.Moscou 1,83
3.Madrid 1,5
4.Milan 1,5

La France est bien placée mais cela est dû à une forte présence en rugby, sport que les autres nations majeures ne pratiquent pas.
En revanche, l'Espagne (même sans le rugby) est facilement en tête.
Au niveau des villes, on retrouve bien sur les deux grandes capitales sportives espagnoles.
Moscou est également présente, bénéficiant de la politique centralisatrice russe.
En France, nous n'avons pas de grand club multisport, les budgets sont répartis entre les grandes villes pour le foot (Paris, Lyon, Marseille) et les villes moyennes pour les autres sports (Perpignan, Villeurbanne, Tours, Montpellier....).

Cette analyse n'est qu'un premier jet, il faudra l'affiner avec des stats sur plusieurs années et en pondérant les sports par le nombre de licenciés au niveau continental.